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JAE 14 - Agriculture résiliente, restauration de la dégradation des sols, capital naturel
» 7,1 MiB - 266 consulté(s) - 24 octobre 2022Ce numéro rapporte, entre autres,
les actions en cours en termes
d’Agroécologie au niveau national
ou au niveau régional. Dans ce
cadre en particulier, il y a lieu
de citer les actions concrètes en
cours dans la mise à l’échelle des
blocs agroécologiques dans le Sud
au travers de différents projets et
associant le CTAS, l’ONG qui a
mis au point ces techniques avec
le GRET avec l’appui du GSDM.
Dans ces blocs agroécologiques,
à part les haies vives de Cajanus
dont les graines sont consommées
au même titre que le haricot après
avoir été tabous dans certaines
communes, des espèces adaptées
à la sécheresse sont promues
comme les sorghos, le mil ou
le konoke. Au niveau national,
les actions de restauration des
sols dégradés aussi bien au
niveau du développement que
de la recherche continuent pour
permettre la mise en culture de
cultures vivrières notamment
du riz pluvial. Les donnsées de la
recherche sur le lombricompost
sont très intéressantes dans un
contexte de coûts élevés d'intrants
pour les EAF.
De même, sous l’impulsion d’un
membre du GSDM, le WWF, le
réseau Natural Capital (Nat Cap)
Madagascar est présenté dans
ce journal, un réseau composé
d’acteurs de la société civile,
du secteur privé, du milieu
académique et du secteur public
qui s’est donné comme mission
de promouvoir la considération
et l’intégration du capital naturel
dans les processus de prise de
décisions et dans les actions de
tous les acteurs de développement
dans différents secteurs.
JAE 13 - Vers une gestion durable des terres
» 11,0 MiB - 481 consulté(s) - 23 avril 2022Une capitalisation des possibilités offertes par les plantes de services en réponse à la gestion durable des terres, la résilience par rapport au changement climatique et la sécurité alimentaire
JAE SPECIAL 12- La Recherche et le Développement pour une mission commune
» 12,8 MiB - 578 consulté(s) - 6 décembre 2021L'Agroécologie, une réponse
aux enjeux du développement
durable des systèmes agricoles
et alimentaires à Madagascar
JAE 11
» 9,9 MiB - 543 consulté(s) - 11 juin 2021Ce JAE 11 a été
rédigé durant la période
de confinement due au
COVID 19 et pour lequel
nous tenons à remercier
les contributions des
membres et partenaires
du GSDM. A partir de ce
numéro, nous avons opté
pour une orthographe
de l’Agroécologie en un
seul mot comme dans le
dictionnaire et dans la
plupart des publications.
Pour une meilleure lecture,
la présentation du JAE a
été également rafraichie
au travers d'un nouveau
design.
Comme dans les numéros
précédents, la gestion de
la fertilité des sols, suite
des études antérieures
dans le cadre du projet
SECuRE dans les stratégies
paysannes prend une place
importante. Il en est de
même sur les innovations
et leçons apprises sur
la gestion durables des
terres. L’engouement
actuel des paysans sur les
variétés de patates douces
à chair orange tant sur la
sécurité alimentaire que
sur la nutrition nous amène
à publier les dernières
informations dans ce
domaines en termes de
variétés.
Une capitalisation des
formations réalisées par
le GSDM à différentes
échelles est présentée
dans ce numéro. « Bilan
carbone réduit et résultats
économiques en hausse »,
tels sont les résultats
de la recherche sur un
ensemble de pratiques
Agroécologiques au sein
des exploitations agricoles
familiales. De tels résultats
complétés par les leçons
apprises et les témoignages
des paysans plaident pour
un plaidoyer au niveau
national et un renforcement
des formations à tous
les niveaux, activités qui
rentrent dans les missions
principales du GSDM.
JAE 10
» 4,6 MiB - 619 consulté(s) - 14 octobre 2020Ce numéro est rédigé durant la période de confinement due au COVID 19 et pour lequel nous tenons à remercier les contributions des membres et partenaires du GSDM. Les séries d’articles relevant de la recherche sur la matière organique et la fertilisation minérale sont révélatrices des stratégies paysannes dont il faut tenir compte dans les programmes de développement en matière d’agriculture familiale. La recherche nous promet d’autres articles dans ce sens. Compte tenu des engouements actuels des paysans pour le mucuna dans la gestion de la fertilité des sols, un article sur son utilisation en alimentation animale est présenté par la recherche. Les contributions des membres et des partenaires du GSDM sur les expériences/leçons apprises des projets/programmes en matière d’agriculture climato-intelligente et d’Agro-écologie sont très enrichissantes pour nos échanges. En particulier, les leçons apprises en matière de bonnes pratiques agricoles, de ady gasy ainsi que les témoignages de paysans contribuent encore une fois au plaidoyer pour l’Agro-écologie pour la conservation de notre patrimoine sol et de notre biodiversité exceptionnelle. Nous avons mis dans cette édition la biographie de Lucien Séguy qui nous a quitté le 27 Avril 2020, en hommage à cet agronome, chercheur et pionnier en l’agriculture de conservation (ou SCV) à Madagascar comme à l’étranger. Merci à ses collègues proches et à sa famille d’avoir rédigé cette biographie ainsi que le livre d’or numérique à sa mémoire en cours de préparation.
JAE 9
» 4,9 MiB - 622 consulté(s) - 8 avril 2020Ce numéro 9 du
Journal de l’Agro-écologie couvre différents
domaines allant de la recherche à la formation,
aux enjeux de développement et surtout, par
rapport aux numéros précédents, des témoignages
d’adoptants montrant des changements de
comportements sur les bonnes pratiques agricoles
pour la gestion de la fertilité des sols. On connaît
depuis longtemps l’importance de la matière
organique dans nos sols acides fortement lessivés
depuis de longues années. Un sol ferralitique acide
dépourvu de matière organique se compacte à
partir des 15 cm limitant la descente des racines
des plantes. Sur ces sols acides le fumier est un
amendement très utile dont la fonction va bien
au-delà de sa composition chimique à savoir sa
fonction dans le relèvement du pH et sa fonction
dans le complexe argilo-chimique.
Jusqu’à présent, on s’est appuyé sur le fumier de
ferme mais avec la forte réduction du troupeau
dans les exploitations agricoles, il est impossible
de satisfaire les besoins. En effet, les productions
de fumier dans les exploitations agricoles
(inférieures à 5 t/ha) sont nettement insuffisantes
pour satisfaire leur besoin. Comme le fumier ne
sera jamais suffisant, la solution c’est les plantes
de couverture où nous avons des acquis énormes
par rapport aux autres pays. L’engouement des
paysans du projet MANITATRA sur le mucuna et le
lombricompost est très significatif à cet égard. A
noter également l’utilisation du compost liquide
avec addition de plantes biocides comme le neem,
le faux neem, etc.. pour lutter contre les insectes
nuisibles.
L’autre solution complémentaire est l’utilisation
des composts et en particulier le lombricompost, une matière organique de qualité qui s’utilise à des
doses dix fois plus faibles que le fumier.
JAE 8
» 34,4 MiB - 432 consulté(s) - 2 janvier 2020Ce numéro 8 du Journal de l’Agro-écologie couvre différents domaines allant de la recherche à la formation, aux enjeux de développement et surtout, par rapport aux numéros précédents, des témoignages d’adoptants montrant des changements de comportements sur les bonnes pratiques agricoles pour la gestion de la fertilité des sols. La reconnaissance de l’importance du fumier de ferme améliorée dans la Sud Est est très significative à cet égard et traduit un changement de paradigme dans la gestion de la fertilité des sols pour des paysans qui ne l’utilisaient pas du tout dans le passé. Il en est de même pour la restitution des résidus des récoltes d’après les enquêtes de la recherche. Différentes innovations figurent dans ce numéro, entre autres les contributions des techniques agro-écologiques pour améliorer la sécurité alimentaire aux alentours des aires protégées, la valorisation des déchets urbains pour l’intensification des cultures à forte valeur ajoutée.
A noter en particulier la confirmation de l’importance du mucuna d’après les expériences de nos partenaires autour des aires protégées : le mucuna associé aux cultures vivrières réduit aussi les attaques de sangliers, par conséquent, en plus de ses propriétés avérées dans la régénération de la fertilité, dans la lutte contre les mauvaises herbes, dans sa forte capacité à réduire les attaques des insectes dont en particulier les chenilles légionnaires, le mucuna est aussi un répulsif contre les grands ravageurs des cultures comme les sangliers (observations préliminaires). Les travaux de recherche contribuent largement dans ce numéro dans l’éclairage sur l’adoption ou la non adoption des techniques diffusées.