Réponses aux enjeux du développement agricole et de protection de l'environnement
Des écosystèmes cultivés résilients par rapport au changement climatique

Il y a 635 fichiers, taille totale 2,8 GiB avec 776 738 documents consultés.

De 365 à 371 sur 635 fichiers.

   

Journal de l\\\'Agroecologie

  JAE SPECIAL 12- La Recherche et le Développement pour une mission commune
» 12,8 MiB - 1 446 consulté(s) - 6 décembre 2021L'Agroécologie, une réponse aux enjeux du développement durable des systèmes agricoles et alimentaires à Madagascar

  JAE 11
» 9,9 MiB - 1 267 consulté(s) - 11 juin 2021Ce JAE 11 a été rédigé durant la période de confinement due au COVID 19 et pour lequel nous tenons à remercier les contributions des membres et partenaires du GSDM. A partir de ce numéro, nous avons opté pour une orthographe de l’Agroécologie en un seul mot comme dans le dictionnaire et dans la plupart des publications. Pour une meilleure lecture, la présentation du JAE a été également rafraichie au travers d'un nouveau design. Comme dans les numéros précédents, la gestion de la fertilité des sols, suite des études antérieures dans le cadre du projet SECuRE dans les stratégies paysannes prend une place importante. Il en est de même sur les innovations et leçons apprises sur la gestion durables des terres. L’engouement actuel des paysans sur les variétés de patates douces à chair orange tant sur la sécurité alimentaire que sur la nutrition nous amène à publier les dernières informations dans ce domaines en termes de variétés. Une capitalisation des formations réalisées par le GSDM à différentes échelles est présentée dans ce numéro. « Bilan carbone réduit et résultats économiques en hausse », tels sont les résultats de la recherche sur un ensemble de pratiques Agroécologiques au sein des exploitations agricoles familiales. De tels résultats complétés par les leçons apprises et les témoignages des paysans plaident pour un plaidoyer au niveau national et un renforcement des formations à tous les niveaux, activités qui rentrent dans les missions principales du GSDM.

  JAE 10
» 4,6 MiB - 1 365 consulté(s) - 14 octobre 2020Ce numéro est rédigé durant la période de confinement due au COVID 19 et pour lequel nous tenons à remercier les contributions des membres et partenaires du GSDM. Les séries d’articles relevant de la recherche sur la matière organique et la fertilisation minérale sont révélatrices des stratégies paysannes dont il faut tenir compte dans les programmes de développement en matière d’agriculture familiale. La recherche nous promet d’autres articles dans ce sens. Compte tenu des engouements actuels des paysans pour le mucuna dans la gestion de la fertilité des sols, un article sur son utilisation en alimentation animale est présenté par la recherche. Les contributions des membres et des partenaires du GSDM sur les expériences/leçons apprises des projets/programmes en matière d’agriculture climato-intelligente et d’Agro-écologie sont très enrichissantes pour nos échanges. En particulier, les leçons apprises en matière de bonnes pratiques agricoles, de ady gasy ainsi que les témoignages de paysans contribuent encore une fois au plaidoyer pour l’Agro-écologie pour la conservation de notre patrimoine sol et de notre biodiversité exceptionnelle. Nous avons mis dans cette édition la biographie de Lucien Séguy qui nous a quitté le 27 Avril 2020, en hommage à cet agronome, chercheur et pionnier en l’agriculture de conservation (ou SCV) à Madagascar comme à l’étranger. Merci à ses collègues proches et à sa famille d’avoir rédigé cette biographie ainsi que le livre d’or numérique à sa mémoire en cours de préparation.

  JAE 9
» 4,9 MiB - 1 086 consulté(s) - 8 avril 2020Ce numéro 9 du Journal de l’Agro-écologie couvre différents domaines allant de la recherche à la formation, aux enjeux de développement et surtout, par rapport aux numéros précédents, des témoignages d’adoptants montrant des changements de comportements sur les bonnes pratiques agricoles pour la gestion de la fertilité des sols. On connaît depuis longtemps l’importance de la matière organique dans nos sols acides fortement lessivés depuis de longues années. Un sol ferralitique acide dépourvu de matière organique se compacte à partir des 15 cm limitant la descente des racines des plantes. Sur ces sols acides le fumier est un amendement très utile dont la fonction va bien au-delà de sa composition chimique à savoir sa fonction dans le relèvement du pH et sa fonction dans le complexe argilo-chimique. Jusqu’à présent, on s’est appuyé sur le fumier de ferme mais avec la forte réduction du troupeau dans les exploitations agricoles, il est impossible de satisfaire les besoins. En effet, les productions de fumier dans les exploitations agricoles (inférieures à 5 t/ha) sont nettement insuffisantes pour satisfaire leur besoin. Comme le fumier ne sera jamais suffisant, la solution c’est les plantes de couverture où nous avons des acquis énormes par rapport aux autres pays. L’engouement des paysans du projet MANITATRA sur le mucuna et le lombricompost est très significatif à cet égard. A noter également l’utilisation du compost liquide avec addition de plantes biocides comme le neem, le faux neem, etc.. pour lutter contre les insectes nuisibles. L’autre solution complémentaire est l’utilisation des composts et en particulier le lombricompost, une matière organique de qualité qui s’utilise à des doses dix fois plus faibles que le fumier.

  JAE 8
» 34,4 MiB - 1 738 consulté(s) - 2 janvier 2020Ce numéro 8 du Journal de l’Agro-écologie couvre différents domaines allant de la recherche à la formation, aux enjeux de développement et surtout, par rapport aux numéros précédents, des témoignages d’adoptants montrant des changements de comportements sur les bonnes pratiques agricoles pour la gestion de la fertilité des sols. La reconnaissance de l’importance du fumier de ferme améliorée dans la Sud Est est très significative à cet égard et traduit un changement de paradigme dans la gestion de la fertilité des sols pour des paysans qui ne l’utilisaient pas du tout dans le passé. Il en est de même pour la restitution des résidus des récoltes d’après les enquêtes de la recherche. Différentes innovations figurent dans ce numéro, entre autres les contributions des techniques agro-écologiques pour améliorer la sécurité alimentaire aux alentours des aires protégées, la valorisation des déchets urbains pour l’intensification des cultures à forte valeur ajoutée. A noter en particulier la confirmation de l’importance du mucuna d’après les expériences de nos partenaires autour des aires protégées : le mucuna associé aux cultures vivrières réduit aussi les attaques de sangliers, par conséquent, en plus de ses propriétés avérées dans la régénération de la fertilité, dans la lutte contre les mauvaises herbes, dans sa forte capacité à réduire les attaques des insectes dont en particulier les chenilles légionnaires, le mucuna est aussi un répulsif contre les grands ravageurs des cultures comme les sangliers (observations préliminaires). Les travaux de recherche contribuent largement dans ce numéro dans l’éclairage sur l’adoption ou la non adoption des techniques diffusées.

  JAE 7
» 91,9 MiB - 875 consulté(s) - 24 juin 2019Ce numéro 7 du Journal de l’Agro-écologie couvre différents domaines allant de la recherche à la formation et aux enjeux de développement. Sont développés, entre autres, des sujets d’actualité comme les perspectives offertes par les plantes de couvertures dans la régénération des sols dégradés voire dans la lutte contre les chenilles légionnaires ou l’analyse des exploitations agricoles familiales pour mieux orienter le développement. Dans l’amélioration des sols par les plantes améliorantes, la performance du pois d’Angole (Cajanus cajan) sur des sols très compactés du Nord-Ouest est confirmée par la recherche. D’ailleurs, la contribution de la recherche privée dans l’amélioration de sols très dégradés en lien avec l’initiative d’exploitation à grande échelle de cajou est partagée dans ce numéro. Des témoignages de paysans dans des régions d’extrême pauvreté sur la contribution des techniques agro-écologiques dans la sécurité alimentaire sont aussi dans ce numéro.

  JAE 6
» 8,7 MiB - 1 083 consulté(s) - 4 janvier 2019Dans cette édition, il est question d’appuis/formation du GSDM à différents niveaux mais surtout des expertises Agro-écologiques dans différents milieux dans le Pays à la demande de ses membres et de ses partenaires. Cette expertise englobe des zones les plus sèches comme l’Androy (300 à 400 mm de pluie) aux zones les plus humides comme le paysage des Hautes Terres du Nord (HTN) dans le corridor forestier d’Andapa et de Doany à 2500 mm de pluie. Des expériences du GSDM, il ressort que l’Agro-écologie peut apporter des réponses à des sujets aussi variés allant de la lutte contre l’érosion, donc la protection des ouvrages, à la régénération des sols dégradés jusqu’à la protection de la biodiversité. Par ailleurs, il ressort de l’évaluation du projet Hoba (projet ASARA) que la diffusion de l’Agro-écologie dans les zones sèches de l’Androy génère des impacts sur la nutrition des ménages et la sécurité alimentaire. Cette diffusion est basée sur le développement de nouvelles espèces comme le pois d’Angole, le konoke, et de graminées comme le mil et le sorgho. Des contributions de chercheurs au niveau national ou régional sont mises en avant dans ce numéro traduisant ainsi le rôle du GSDM d’interface entre la recherche et le développement.