Réponses aux enjeux du développement agricole et de protection de l'environnement
Des écosystèmes cultivés résilients par rapport au changement climatique

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Projet Prosol - Document de capitalisation

  Version française_Gestion des résidus de récolte (Madagascar)
» 1,2 MiB - 6 consulté(s) - 15 avril 2024La gestion des résidus de récolte consiste à laisser les restes de cultures sur les terrains agricoles afin de permettre la restitution d’éléments au sol et préserver son activité biologique. Cette technologie permet de limiter les besoins en apports externes pour restaurer la fertilité du sol. Elle repose en grande partie sur l’efficacité dans la protection des parcelles agricoles contre la divagation des troupeaux.

  Version française_Régénération du sol par les mini-forêts de Cajanus cajan (Madagascar)
» 1,1 MiB - 6 consulté(s) - 15 avril 2024Le pois d’Angole (Cajanus cajan var indica) est une légumineuse arbustive pluriannuelle, qui se développe bien sur les sols pauvres et résiste bien au manque d’eau. La culture de pois d’Angole permet de restaurer les sols pauvres tout en produisant des ressources alimentaires, fourragères et du bois de chauffe.

  Version française_Compost liquide (Madagascar)
» 934,5 KiB - 8 consulté(s) - 12 avril 2024Le compost liquide s'obtient par macération d'un mélange de déjection animale et de matières végétales fraîches, incluant des plantes aux propriétés insectifuges, en milieu aqueux. Il peut être utilisé comme substitution aux engrais minéraux et être employé comme action préventive contres les ennemis des cultures. Il peut être utilisé pour tous types de cultures, mais particulièrement adapté aux cultures maraîchères.

  Version française_Basket compost (Madagascar)
» 894,3 KiB - 9 consulté(s) - 12 avril 2024Le Basket compost est une technique d'intensification agricole pour améliorer la production des tubercules comme le manioc en concentrant la matière organique dans un trou (herbes sèches, matières vertes et si possible, un peu de déjections animales) et en y implantant une bouture saine. Cette technique est très profitable pour les petits exploitants agricoles n’ayant que de petites surfaces agricoles car elle permet de maximiser la production sur une superficie restreinte

  Version française_Utilisation de fascines (Madagascar)
» 860,0 KiB - 8 consulté(s) - 12 avril 2024Les fascines sont des pièges mécaniques en matières végétales mises en place sur les passages d’érosion afin de bloquer l’écoulement de terre. Les fascines sont utilisées sur les sols en pente, où des traces d'érosion sont présentes. Cette technique s'applique pour tous les types d’exploitation. Les fascines sont fabriquées à l'aide d'une rangée de pieux en bois dont les 2/3 de sa longueur sont enfouies dans le sol (1/3 au-dessus de la surface) et disposés les uns à côté des autres avec un écartement de 50 cm à 1 m. Entre ces pieux, des branches entrelacées sont insérées sur lesquelles sont installés des débris végétaux pour finaliser l’ouvrage et bloquer les éléments fins entraînés par l’eau. La longueur des fascines dépend de l'ampleur de la zone à traiter et l'espacement entre les fascines dépend de la pente (plus rapproché si la pente est forte). L’implantation d’une rangée de Vétiver (Chrysopogon zizanioides) en aval de la fascine et l'utilisation des piquets qui peuvent pousser par bouture (faux Kapokier ou Ceiba speciosa, Jatropha, etc.) permettent de la stabiliser et de limiter son entretien.

  Travail du sol perpendiculaire à la pente (Madagascar)
» 973,5 KiB - 12 consulté(s) - 5 avril 2024Le travail du sol perpendiculaire à la pente consiste à privilégier les labours dans le sens perpendiculaire à la pente, même lorsqu’il semble plus pratique de labourer dans le sens de la pente. Le but de cette pratique est de limiter l’érosion par ruissellement.

  Mise en défens (Madagascar)
» 1,0 MiB - 15 consulté(s) - 5 avril 2024La mise en défens consiste à sanctuariser une zone que le ou les propriétaires et la population aux alentours acceptent de ne plus cultiver ni exploiter en optant pour la régénération naturelle du milieu (mise en défens passive) ou à l'enrichissement de l’espace notamment avec des essences forestières (mise en défens active). C'est une mesure de conservation qui nécessite l’implication de la collectivité dans la protection de la zone de mise en défens contre les passages de feu et la divagation du bétail.

   
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